L’Atelier Mastodonte - tome 2
Les aventures de l’Atelier Mastodonte sont de retour avec un deuxième tome. Cette fois, ce sont des traits empruntés à Peyo qui illustrent cette couverture schtroumpfesque. On découvre sous l’écrin cartonné que Tebo, toujours enclin à faire des reprises de personnages célèbres, s’est lancé dans le bleu… jusqu’au bout des ongles…
Ce sont donc Alfred, Bianco, Neel, Pedrosa, Trondheim, Tébo, Yoann, Feroumont, Keramidas, et Nob qui servent une nouvelle fois de protagonistes à cet atelier fictif. Si tous ces noms figurent sur la couverture, on remarquera toutefois qu’Alfred, Trondheim, Tebo et Bianco sont les plus prolifiques.
On notera également l’arrivée de trois nouveaux guests proches de l’atelier : Feroumont (et ses amies dessinatrices) qui crée bien des envieux, Keramidas qui cherche par tous les moyens à s’incruster dans l’atelier et Nob qui se retrouve dans un premier temps « placardisé » et coloriste de Tebo.
Après une tentative infructueuse d’adaptation de « Spirou et les Héritiers » en film (avec Tebo, encore lui, dans le rôle du bondissant Marsupilami) les auteurs se retrouvent confronté à la réalité quand ils apprennent le décès de Jean Giraud alias Moebius. S’en suivent alors une série de strips en hommage au disparu, tantôt touchant, tantôt drôle et dévoilant même quelques anecdotes.
C’est ensuite le temps des vacances (si tant est qu’il soit possible de ne pas travailler en présence de Lewis Trondheim…) et tout ce beau monde se retire dans l’immense château de Dominique Bertail. D’autres invités célèbres feront quelques apparitions, je vous laisse la surprise de découvrir de qui il s’agit.
S’il faut un peu de temps pour se remettre dans l’ambiance de L’Atelier en entamant ce deuxième volume (ne suivant plus les parutions dans le journal de Spirou), c’est toujours avec un grand plaisir que l’on retrouve cette bande d’auteurs plus ou moins inspirés, plus ou moins attachants mais toujours aussi complices. Les hommages à Moebius sont touchants et apportent un côté temporel fort et marquant.
Ce sont donc Alfred, Bianco, Neel, Pedrosa, Trondheim, Tébo, Yoann, Feroumont, Keramidas, et Nob qui servent une nouvelle fois de protagonistes à cet atelier fictif. Si tous ces noms figurent sur la couverture, on remarquera toutefois qu’Alfred, Trondheim, Tebo et Bianco sont les plus prolifiques.
On notera également l’arrivée de trois nouveaux guests proches de l’atelier : Feroumont (et ses amies dessinatrices) qui crée bien des envieux, Keramidas qui cherche par tous les moyens à s’incruster dans l’atelier et Nob qui se retrouve dans un premier temps « placardisé » et coloriste de Tebo.
Après une tentative infructueuse d’adaptation de « Spirou et les Héritiers » en film (avec Tebo, encore lui, dans le rôle du bondissant Marsupilami) les auteurs se retrouvent confronté à la réalité quand ils apprennent le décès de Jean Giraud alias Moebius. S’en suivent alors une série de strips en hommage au disparu, tantôt touchant, tantôt drôle et dévoilant même quelques anecdotes.
C’est ensuite le temps des vacances (si tant est qu’il soit possible de ne pas travailler en présence de Lewis Trondheim…) et tout ce beau monde se retire dans l’immense château de Dominique Bertail. D’autres invités célèbres feront quelques apparitions, je vous laisse la surprise de découvrir de qui il s’agit.
S’il faut un peu de temps pour se remettre dans l’ambiance de L’Atelier en entamant ce deuxième volume (ne suivant plus les parutions dans le journal de Spirou), c’est toujours avec un grand plaisir que l’on retrouve cette bande d’auteurs plus ou moins inspirés, plus ou moins attachants mais toujours aussi complices. Les hommages à Moebius sont touchants et apportent un côté temporel fort et marquant.
Scénario & Dessins : Collectif - Editeur : Dupuis - Série en cours - 2 tomes.
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