DoggyBags - Volume 4
On continue le mois spécial DoggyBags avec le 4ème volume. Trois nouvelles histoires, assurées chacune par ElDiablo et Nicolab, RUN et Singelin. Toujours entrecoupées de pubs et documentations drôles et/ou instructives, les récits s’enchainent dans la violence et le cynisme.
La première histoire nous conte la malchance d’un marchand d’arme, se retrouvant échoué sur une île déserte alors qu’il profitait de vacances avec sa petite amie, ses gardes du corps et son personnel sur son yacht. Une fois à terre, sans armes et toute hiérarchie devenue obsolète, c’est la loi du plus fort qui s’impose. Et notre homme va d’un coup se retrouver dans la peau de ceux qu’il martyrisait autrefois…
Le deuxième récit de RUN, au scénario et dessin, a tout de ses histoires qu’on se raconte au coin du feu pour se faire peur. Une forêt, un couple perdu, des affiches de nombreuses personnes ayant disparues dans la région et surtout une silhouette blanche sur le bord de la route. Si l’ambiance peut sembler un peu cliché, le twist final nous prouve que RUN a un vrai talent pour les rebondissements inattendus et sordides.
La troisième histoire revient ni plus, ni moins sur la capture d’Oussama Ben Laden au Pakistan par une team de Navy Seals (une unité spéciale dont on apprend beaucoup dans une page de documentation leur étant consacrée). Un petit coup de surnaturel et l’on découvre avec effroi pourquoi le corps du chef d’Al-Quaïda s’est retrouvé largué en mer.
Ce quatrième volume est une nouvelle fois très bon. Il regroupe tout ce qu’on aime dans ce genre d’histoires, se permet de briser des tabous, de nous mettre face à des horreurs terrifiantes… Le tout servi par des dessins qui, s’ils sont à chaque fois différents, assurent une cohérence, tant dans les propos que dans l’ambiance.
La première histoire nous conte la malchance d’un marchand d’arme, se retrouvant échoué sur une île déserte alors qu’il profitait de vacances avec sa petite amie, ses gardes du corps et son personnel sur son yacht. Une fois à terre, sans armes et toute hiérarchie devenue obsolète, c’est la loi du plus fort qui s’impose. Et notre homme va d’un coup se retrouver dans la peau de ceux qu’il martyrisait autrefois…
Le deuxième récit de RUN, au scénario et dessin, a tout de ses histoires qu’on se raconte au coin du feu pour se faire peur. Une forêt, un couple perdu, des affiches de nombreuses personnes ayant disparues dans la région et surtout une silhouette blanche sur le bord de la route. Si l’ambiance peut sembler un peu cliché, le twist final nous prouve que RUN a un vrai talent pour les rebondissements inattendus et sordides.
La troisième histoire revient ni plus, ni moins sur la capture d’Oussama Ben Laden au Pakistan par une team de Navy Seals (une unité spéciale dont on apprend beaucoup dans une page de documentation leur étant consacrée). Un petit coup de surnaturel et l’on découvre avec effroi pourquoi le corps du chef d’Al-Quaïda s’est retrouvé largué en mer.
Ce quatrième volume est une nouvelle fois très bon. Il regroupe tout ce qu’on aime dans ce genre d’histoires, se permet de briser des tabous, de nous mettre face à des horreurs terrifiantes… Le tout servi par des dessins qui, s’ils sont à chaque fois différents, assurent une cohérence, tant dans les propos que dans l’ambiance.
Scénario & Dessins : Collectif - Editeur : Ankama - Label 619 - série en cours - 6 tomes.
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